Une liste des biais cognitifs répartis en grands types, et représentés sur un grand disque. Super intéressant !
Chouette vidéo expliquant l'effet d'ancrage, le fait d'être influencer lors d'une estimation par une valeur "indice". Très intéressant pour ne pas se faire prendre au piège, voire pour exploiter l'effet en négociation. Et bien sur, dans mon métier, pour éviter des biais lors de tests utilisateurs.
Faire du multitâche, pas si bon pour le cerveau.
Long article en anglais sur l'attention (notamment dans le cadre du travail) et le multi-tasking.
3 modes cérébraux qui nécessitent des comportements différents :
Intéressant article sur les mécanismes cérébraux de l'attention et de la résolution de problème.
La plasticité cérébral, un truc de malade ! :)
Excellent !
La source d'inspiration très très très très probable du prochain Pixar.
Certains parlent même de plagiat. ;)
Toujours bon à rappeler.
Mais... ok, les drogues ne font pas de trous dans le cerveau, mais qu'en est-il d'internet ? J'suis sure que ça fait des trous comme des boules de glace dans les neurones. (Fauve) ;)
Une très bonne interview d'Antoine Lutz, chercheur Inserm (dans mon ancien labo) sur la méditation en neurosciences.
J'étais légèrement septique jusqu'à lire l'explication dans l'avant-dernier paragraphe. Ce ne serait pas du à la méthode numérique de manière intrinsèque, mais plutôt à la modification comportementale associée à celle-ci : écrire tout et considérer donc toutes les infos au même niveau sans hierarchiser l'information.
Excellente conférence de Catherine Vidal, neurobiologiste française, qui fait tomber les idées reçues sur les différences cérébrales entre hommes et femmes. Ca dure 11 minutes. C'est pas hyper récent (2011) mais toujours d'actualité.
Elle fait une conférence à Dijon le 12 juin (et visioconférence simultanée à Nevers, Louhans et Auxerre) : http://www.ripess.org/conference-de-catherine-vidal-le-cerveau-a-t-il-un-sexe/
Très intéressante étude résumée par Pierre Barthélemy. La conclusion est quelque chose que je trouve vraiment important à retenir :
"l'expérience montre la puissance du "neuro-enchantement", à quel point on surestime l'état de nos connaissances sur le cerveau ainsi que nos capacités à tirer de la neuro-imagerie des informations aussi complexes que des pensées. [...] ces chercheurs soulignent le danger qu'il y a à introduire, comme c'est de plus en plus souvent le cas, la science du cerveau et la neuro-imagerie comme élément à charge ou à décharge au cours des procès."
Interview de Perrine Ruby, chercheuse à l'Inserm qui étudie la neurophysiologie du rêve. Accessoirement une amie et ancienne collègue.
Les nuits blanches augmentent la concentration dans le sang de deux molécules présentes habituellement lors d'une lésion cérébrale. De là à affirmer qu'un "manque de sommeil peut favoriser les processus de neurodégénérescence"... je ne sais pas, mais j'affirme volontiers que faire dodo c'est important.
Je préfère la news d'octobre décrite dans le dernier paragraphe : le sommeil accélère le nettoyage des toxines du cerveau, notamment la béta-amyloïde à l'origine de la maladie d'Alzheimer.
Je vais retourner faire une petite sieste moi...
L'élagage des connexions neuronales inutiles commencerait plus tôt chez les jeunes filles que chez les jeunes garçons. Je n'ai pas réussi à trouver le papier scientifique pour savoir à quelle âge apparait cette différence, et à quel âge elle disparait (si disparition il y a... :-D)
Amusant : le cerveau consomme plus d'énergie lors d'une décision difficile que pour effectuer un travail intellectuel. Voilà pourquoi je n'arrive pas à prendre la moindre décision quand j'ai faim... :)
Excellent. Ce chercheur a découvert par hasard qu'il avait une faible activité dans les zones du cerveau liées à l'empathie, à la moralité et au contrôle de soi, signe caractéristique de la psychopathie.
Et on se demande pourquoi certains chercheurs en neurosciences hésitent à participer à leurs propres études... :)
Des chercheurs ont identifié une molécule qui, injectée à haute dose juste avant une simulation de changement de fuseau horaire, réduit de moitié le jetlag chez les souris. A forte dose, cette molécule aurait tendance à mettre le bouxou dans la synchro des cellules, ce qui aurait pour conséquence une prise en compte plus importante des informations extérieures (lumière) par l'organisme pour se resynchroniser.