Excellente conférence sur nos relations avec les nouvelles technologies, présentée lors d'une conférence en ergonomie (mais plutôt philosophique), et qui rejoint le sujet du transhumanisme auquel je suis très sensible.
Le conférencier compare notamment la consommation d'informations (en mode Petite Poucette) aux fast foods, et fait une démonstration à son public des émotions générées par le simple fait de prêter son téléphone à un inconnu (lost of control, naked...). "Pourquoi avons nous une relation aussi intime avec nos téléphones portables ?"
Transhumanisme : les origines. Ce billet a été écrit avant le précédent et aborde la fameuse singularité (= quand les machines deviendront nos égaux, et que nous seront "forcés" d'augmenter l'homme pour garder notre supériorité).
Une conférence TED au milieu (pas eu le temps de la regarder encore) et la découverte d'un mouvement qui m'était inconnu : les technoprogressistes qui sont transhumanistes modérés, s'intéressant de près aux problèmes ethiques.
“Contrairement aux extropiens, qui croient en un progrès illimité par la science et les techniques, nous nous préoccupons des intérêts collectifs, du bien commun. Il n’est pas question de développer des technologies et de réfléchir après”
Voilà des gens un peu rassurants, malheureusement ils n'ont pas le même poids que les autres fous californiens...
Quand la réalité rejoint la fiction, le transhumanisme aujourd'hui et demain.
Certains exemples m'étaient inconnus, mais la plupart étaient abordés dans ma thèse, notamment dans ma discussion où je me suis intéressée de près aux aspects éthiques des interfaces cerveau-machine.