Complètement dingue cette étude, et les applications à long terme qu'elle laisse imaginer. J'avoue que, bien que fascinée par le sujet (traité dans la discussion de ma thèse), je suis assez frileuse vis-à-vis de tout ce qui tourne autour des neuroprothèses, et peut-être encore plus lorsqu'elles sont cognitives (vs sensorielles ou motrices que j'accepte sans problème sur des patients handicapés mais qui me font déjà froid dans le dos lorsqu'on les applique à des sujets sains...).